Le 15 mai 2025, lors de la conférence des femmes administratrices universitaires seniors du Canada, organisée par l'Université Concordia, membre de la TRAES, Valerie Walker, chef de la PDG de TRAES, s'est jointe à un panel sur l'évolution des exigences en matière d'enseignement supérieur.
Aux côtés de Julie Peters (Academica Group), Oksana Kishchuk (Abacus Data) et de la modératrice Barbara Crow (Université Queen's), le panel a examiné comment les universités peuvent établir des relations avec des groupes externes, notamment l'industrie, répondre à l'évolution de l'opinion publique et répondre aux nouvelles pressions financières.
Val a parlé du rôle que les établissements postsecondaires peuvent jouer pour relever les défis structurels du Canada en matière de productivité. Son message : les études postsecondaires renforcent non seulement les compétences, mais aussi la capacité, la cohésion et l'adaptabilité au sein des collectivités et des régions et entre elles.
Elle a donné un exemple pratique tiré de l'un des partenariats d'l'apprentissage intégré au travail (AIT) de BHER avec l'Université Western et la TechAlliance of Southwestern Ontario. L'objectif était d'amener davantage d'étudiants en sciences sociales, humaines et arts à vivre des expériences de travail dans le secteur de la technologie. Les résultats ? Plus de 1 000 étudiants ont participé, un modèle évolutif a été créé et la programmation a dépassé sa portée initiale.
Qu'est-ce qui l'a fait fonctionner ? Des partenariats locaux solides, un alignement réel entre les besoins du programme d'études et de l'industrie et une volonté commune de remettre en question les hypothèses.
Val a conclu par un appel à l'action pour les leaders de l'enseignement supérieur : en réponse à l'évolution des demandes en matière d'enseignement supérieur, nous devons soutenir l'expérimentation, relier la recherche à la pratique et renforcer les capacités des personnes et des lieux. Les établissements postsecondaires sont particulièrement bien placés pour le faire.
Merci à SAAAC et à Concordia d'avoir organisé une conversation aussi opportune et réfléchie. Remerciements tout particuliers à Sandra Gabriele et Donna Kotsopoulos