Qu'est-ce que l'AIT vous apporte ?
La main d'œuvre d'aujourd'hui affronte des défis nécessitant des compétences pratiques et un assortiment d'expériences pour pouvoir s'adapter à un marché du travail fluctuant. En participant à des opportunités d'Apprentissage intégré au travail (AIT), vous allez découvrir de différentes expériences et de différents milieux de travail. À travers ces formations, vous bâtirez votre portfolio de compétences et de contacts pour mieux vous préparer aux défis de la vraie vie et pouvoir demeurer concurrentiel dans votre recherche de travail.
« J’ai absolument adoré le temps que j’ai passé comme stagiaire à la TRAES. Je suis chargée de tâches liées aux politiques et aux communications, notamment la préparation de documents d’information, la recherche, la modification de politiques, la gestion des réseaux sociaux, la rédaction de communiqués de presse et l’élaboration de la stratégie de communication générale de la TRAES. Ce dernier mois, j’en ai appris énormément sur la façon dont une organisation gère ses communications et ses messages. […] En tant qu’étudiante de premier cycle en histoire et en sciences politiques, j’ai passé...
« Mon rôle comme stagiaire attitré aux politiques et au développement des affaires de la TRAES est à la fois dynamique et stimulant. J’ai pour mission de soutenir les objectifs opérationnels et de développement des affaires de l’organisme, tout en travaillant à notre initiative phare : mener une stratégie nationale d’apprentissage intégré au travail. Faire partie de ce processus me permet d’observer ce qui se passe quand une organisation accroît son infrastructure physique et technologique. De plus, j’ai appris ce qu’englobe un processus de mobilisation des parties prenantes pour un organisme...
Étudiant de troisième cycle en sciences politiques à la Munk School of Global Affairs, Andrew Aulthouse se concentre sur les questions d’innovation, de gouvernance et de diversité. Dans le cadre de son stage à la banque RBC, il étudie l’impact de ces éléments sur les entreprises.
« La RBC cherchait quelqu’un capable de plonger dans un projet en l’abordant sous un angle nouveau, explique Andrew. Parallèlement, j’applique les compétences acquises en classe (recherche, communication, gestion de projets) à un secteur d’activité auquel je n’avais pas songé auparavant. »
Andrew Aulthouse...
« Mon apprentissage au sein de cette organisation a été exceptionnel. Chaque jour m’a apporté une nouvelle expérience et quelque chose de nouveau à apprendre. Comme étudiante à la majeure en finance, en milieu de programme, j’ai été constamment mise au défi et forcée de sortir de ma zone de confort. Tous les renseignements, les conseils et les leçons que j’ai reçus de mon superviseur et de mes collègues à CCM sont extrêmement pertinents et utiles. »
Michelle Smith, étudiante à l’Université du Manitoba
« Au cours de la dernière session, j’ai acquis de précieux renseignements sur la vie de comptable professionnel et sur les diverses possibilités que cette profession offre. Le programme coopératif m’a permis de répondre aux hésitations que j’avais quant à mon choix de carrière. »
Nyasha Mukumba, étudiante à l’Université du Manitoba
« Ce que j’ai appris en travaillant me servira en classe, car j’ai acquis une expérience pratique que je pourrai appliquer à de nouveaux concepts présentés durant les cours. C’est toujours plus facile de comprendre la théorie et les idées quand on a une situation pratique à laquelle les rattacher. Le programme coopératif me permet de faire le lien entre le milieu du travail et le milieu universitaire. »
Courtney Thomson, étudiante à l’Université du Manitoba
Deux mille huit cents. C’est à peu près le nombre de ponceaux qu’a inspectés Sydney James durant l’été où elle a parcouru les routes de la Saskatchewan. Pour cette étudiante en génie technologique à la Saskatchewan Polytechnic, les travaux scolaires étaient pour la plupart directement liés à l’expérience qu’elle avait acquise grâce à son stage au ministère de la Voirie et de l’Infrastructure.
« Après un été à étudier les ponceaux et à comprendre l’incidence de l’écoulement de l’eau sur la stabilité du sol, nous avons commencé à étudier l’hydraulique en classe, dit-elle. J’ai pu constater...
Après avoir gagné une compétition de robotique à l’école secondaire, Bo Chiasson savait que la technologie se taillerait une place dans son avenir; il ne savait simplement pas sous quelle forme. Maintenant à sa dernière année du programme de technologie de l’instrumentation et du génie à la Saskatchewan Polytechnic, Bo affirme que l’expérience pratique acquise dans ses différents stages de travail l’a aidé à perfectionner ses compétences.
« Quand j’ai commencé le programme, je ne savais pas trop ce qui m’attendait. Grâce aux stages de travail, je ne me lance pas dans le vide dans l...
Dans son cours de marketing de troisième année à l’Université de Waterloo, Amy Zhou se demandait : « La résolution de problèmes est-elle vraiment abordée de cette façon dans la vraie vie? »
Elle a trouvé réponse à sa question pendant son stage de travail coopératif chez Microsoft. « On apprend tellement quand on est parachuté dans un milieu où, plutôt que de compter sur un professeur pour corriger nos devoirs, on doit relâcher nos projets directement dans le monde. »
Pendant son stage de quatre mois, Amy a créé des produits de communication destinés à des PME, fait le suivi d’indicateurs...
Pour Matthew Rosenfeld, étudiant au programme de services paramédicaux de première ligne, l’exercice a constitué une formidable façon de mettre en pratique des concepts et des procédures appris en classe.
« L’interaction avec les autres organismes a été incroyablement bénéfique. La communication interorganismes est parfois difficile, et le scénario nous a permis de déceler et de corriger certains problèmes », affirme-t-il.
Pour Jenna Gliddon, étudiante au même programme, l’expérience lui a permis, ainsi qu’à ses camarades, de se préparer à une carrière dans les services d’urgence.
«...
Un aperçu aux FAQs
Le CV (curriculum vitae) vise tout d’abord à vous obtenir une entrevue avec l’employeur. Il faut respecter deux principes : la concision et un formatage adéquat. Normalement, un CV compte une à deux pages (si vous avez peu d’expérience, limitez-vous à une page); vos études et vos expériences de travail y sont présentées dans l’ordre chronologique inverse (le plus récent en premier). Dans la description de l’expérience professionnelle, utilisez des puces pour énumérer vos réalisations (qualitatives et quantitatives). Chaque puce consiste en une phrase complète, contenant des mots d’action avec le résultat de cette action.
Sections à considérer (l’ordre peut varier) :
- Études
- Expériences de travail
- Expériences de bénévolat
- Projets personnels
- Compétences
- Loisirs et activités parascolaires
- Récompenses
Pour obtenir un guide complet de rédaction d’un CV, assorti de modèles et d’exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation par l'UQAM.
À l’aide de la lettre de présentation, vous tenterez de convaincre l’employeur que vos compétences et qualifications correspondent à ses besoins. Essentiellement, vous répondrez aux questions suivantes :
- Que voulez-vous apprendre à l’employeur à votre sujet et sur vos expériences?
- Pourquoi souhaitez-vous travailler pour cette organisation et occuper ce poste?
- Pourquoi l’organisation devrait-elle vous embaucher?
La lettre de présentation doit tenir sur une page et être adaptée à chaque poste, employeur et secteur d’activité que vous visez. Pour la personnaliser, montrez que vous connaissez l’organisation et indiquez en quoi vos compétences et expériences peuvent aider l’organisation à accomplir son mandat.
À noter : Faites quelques recherches pour trouver à qui adresser votre lettre de présentation. Ce petit effort témoignera de votre volonté d’en faire plus et contribuera à vous démarquer des candidats ayant soumis des lettres plus génériques.
Pour obtenir un guide complet, avec modèles et exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation de l'UQAM.
La première chose à considérer est de savoir si vous répondez aux exigences « fondamentales ». Si oui, il vaut la peine de postuler. Ensuite, déterminez si vous êtes capable et désireux d’acquérir par vous-même les autres compétences. Même s’il vous manque une compétence obligatoire, l’employeur pourrait être incité à vous donner une chance s’il constate que vous savez comment combler cette lacune. N’oubliez pas que vous ne savez pas qui d’autre a postulé pour ce poste, et vous n’avez donc rien à perdre en tentant votre chance.
Curriculum vitae :
Tout d’abord, une expérience professionnelle sans lien avec le poste reste une expérience professionnelle; elle montre que vous avez rendu compte à un superviseur, travaillé au sein d’une équipe et suivi un horaire de travail. Ces expériences passées vous ont permis d’acquérir des compétences que vous pouvez mettre en valeur pour le poste pour lequel vous postulez. Par exemple, les compétences humaines telles que la communication et le travail d’équipe s’avèrent toujours pertinentes.
D’autres compétences peuvent provenir de différentes types d’expériences :
- Expérience de bénévolat → acquisition de compétences générales dans un cadre s’apparentant à un milieu de travail, travail d’équipe, etc.
- Études → cours pour lesquels vous avez rédigé des dissertations et perfectionné vos compétences en rédaction et en communication; laboratoires où vous avez perfectionné vos habiletés de recherche et d’analyse, etc.
- Projets personnels → création de sites Web ou d’applications, blogue, balados, etc.
Lettre de présentation :
La lettre de présentation permet de vous mettre en valeur et de souligner comment vos expériences, pertinentes ou non, vous ont inculqué les compétences nécessaires pour exceller dans le poste convoité. Puisez dans vos expériences de travail et de bénévolat, vos études et vos projets personnels décrits dans votre CV, en n’oubliant pas de les relier au poste visé et d’expliquer comment ils font de vous un.e excellent.e candidat.e. En outre, montrer votre connaissance de l’organisation, pour illustrer votre intérêt pour le poste, contribuera également à vous distinguer.
Votre établissement postsecondaire a peut-être un portail d’emploi ou un site Web qui énumère les emplois pour étudiants offerts dans votre collectivité. Chaque province et territoire, tout comme le gouvernement fédéral, a un babillard d’emplois accessible à tous. Vous y trouverez des emplois dans toutes les sphères d’activité, du secteur privé comme du secteur public.
Vous pouvez également consulter les sites d’emploi institutionnels les plus populaires comme Indeed, Workopolis et Glassdoor. Jetez un coup d’œil aussi sur LinkedIn, où vous pouvez créer votre profil pour postuler directement à des emplois ou réseauter avec des recruteurs.
Le travail à domicile exige des compétences différentes de celles que commande le travail dans un bureau. Travailler à la maison signifie avoir moins de supervision de la part du supérieur direct, ce qui nécessite de bonnes aptitudes à la gestion du temps et de soi. Montrez que vous êtes capable de travailler avec peu de supervision et de gérer efficacement votre temps pour respecter les délais. La communication devient également très importante; votre superviseur doit savoir que vous communiquerez clairement quand vous aurez besoin d’aide ou quand vous souhaiterez qu’on vous confie plus de travail.
Pour un complément d’information, voir le Guide de télétravail de l’Université St. Thomas.